S’en vient la joie quand fuit la peine
Et la vérité à l’usure
S’en vient la joie quand fuit la peine
Au cœur de cette madeleine
Qui dessine dans ses marbrures
Moitié de tout et vastes plaines
Songe qui coule dans mes veines
L’art montre toutes les coutures
Grand corps tronqué des devantures
Mes infortunes sont les tiennes
Ma plainte gronde dans l’azur
Les machines sont à la peine
Et la vérité à l’usure